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Le récit de  nos turbulences...

 

Permettez moi de partager avec vous, le récit des turbulences que nous avons rencontrées au cours de notre long voyage vers la guérison... Peut-être, certains s'y reconnaîtront...

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Après plusieurs années de calvaire quotidien, jour et nuit, et à force de persévérance et de soutien, mes enfants, mon mari et moi sommes guéris de tous nos maux chroniques et notre vie de famille est enfin sereine !

Grâce à une alimentation et complémentation adaptées, nous avons retrouvé le plaisir d'être à table et goûtons tous les jours qui passent à une vraie qualité de vie. Quel bonheur !​

Mon objectif aujourd'hui : partager notre vécu et faire de ce combat et de nos apprentissages une expérience qui peut vous aider vous aussi à vous en sortir. Toute ma famille se joint à moi pour vous souhaiter un bon voyage et vous apporter le courage d'affronter ces turbulences. N'hésitez pas à me contacter et à partager avec moi votre expérience, votre histoire...​

Je me nomme "hyperactivité"

 

"Chez mon fils, très tôt le matin, tout était déjà en activité ! Aussi bien sa gestuelle que son langage verbal. En plus d’exercer le rôle de mère et d’infirmière, puisque mon petit bonhomme était toujours malade, je me retrouvais également boxeuse à temps complet.

En effet, je n’avais plus aucun moment où je pouvais me permettre le luxe de déserter le ring où mon fils m'emmenait, quotidiennement et inlassablement, ceci à mon grand désespoir. En plus de toutes les malformations physiques que je me reprochais d’avoir laissés à nos enfants, voilà encore que je portais la culpabilité d’avoir omis l’insertion de la case verbale OUI à notre petit garçon. La conséquence de cette éviction verbale suscitait entre mon enfant et moi, des relations conflictuelles…"

 

>>> Pour en savoir plus sur le lien entre hyperactivité et micronutrition, consultez le dossier rédigé par le Docteur Olivier Coudron en cliquant ici.

Je me nomme "déficit d'attention"

 

"Notre fille est calme, posée et appliquée. Vu ce que je vivais avec notre fils, j’avais tendance à peut-être minimiser sa difficulté de concentration. Mais, en juin 2007, un bilan fut effectué pour nos deux enfants. Pour notre fils, le diagnostic d’hyperactif, avec déficit d’attention et trouble du comportement fut mis en évidence. Quant à notre fille, c’est le diagnostic de déficit d’attention et de dyspraxie qui fut posé. Ses résultats scolaires étaient très bons puisqu’elle a toujours été très appliquée. Toutefois, le temps qu’elle passait à accomplir son travail était très long, trop long. En effet, elle se plaisait à contempler par la fenêtre et à penser à mille et une choses en même temps… En classe, j’ai toujours demandé qu’elle soit placée au premier rang, faute de quoi elle aurait été déconcentrée par la camarade devant elle qui avait un trou à sa chaussette ou par celui qui avait une mèche de cheveux rebelle."

>>> Pour en savoir plus sur le lien entre déficit d'attention et micronutrition, consultez le dossier rédigé par le Docteur Olivier Coudron en cliquant ici.

Je me nomme "fibromyalgie"

 

"Depuis quelques années déjà, mon mari souffrait de douleurs chroniques de la tête jusqu’au bas du dos. A chaque jour qui passait, il prenait des anti-inflammatoires. Au fil du temps, son état s’aggravait. Evidemment, il a tout essayé sans grand résultat et sans explication non plus. Bien entendu, j’avais observé que certains aliments accentuaient son état. Malheureusement, impossible de lui transmettre ce message. Lors d’une sortie estivale en haute altitude avec des collègues, il crut ne jamais pouvoir redescendre de la montagne tant la souffrance de ses membres inférieurs était grande. Lorsqu’il expliquait son mal, nous en étions tous arrivés à la conclusion qu’il était bien douillet. Ne supportant plus les maux qui altéraient son quotidien, constatant le résultat sur nos enfants, il décida de se faire suivre par le Dr Pexieder. Il fut heureux d’apprendre qu’il n’avait rien d’un malade imaginaire et qu’il souffrait de fibromyalgie."

Je me nomme "allergies"

 

"J’en ignore encore la raison, mais au fil du temps, j’avais établi un étrange journal intime, j’y recueillais les propos des médecins et j’y analysais les événements. Je m’obstinais à réunir des données et je ne désespérais pas qu’à force de noter, je pourrais enfin comprendre et établir des liens. Je continuais mon analyse et je réalisais que la tomate amenait notre fils directement aux urgences, que le chocolat faisait tousser et vomir notre fille, que la baignade dans la piscine provoquait des toux et des vomissements chez notre fille. Je sentais qu’un lien unissait tous ces troubles."

Je me nomme "eczéma"

 

"Périodiquement, ma fille et mon fils avaient des petits boutons sur tout le corps. Mon mari observait que, suivant l'aliment qu'il avait mangé, des plaques rouges apparaissaient sur son visage. Quant à moi, mon nez ainsi que mon cuir chevelu étaient régulièrement recouverts de plaques qui me démangeaient. Dès lors, lorsque nous voulions appuyer sur le déclencheur de l’appareil photos pour la jolie photo de famille, difficile de faire « bonne figure »… entre rougeurs et démangeaisons."

Je me nomme "troubles chroniques"

 

"Au moment, où je rencontrai mon mari, rhumes et bronchites faisaient partie intégrante de ma personne, ils voya¬geaient avec moi sans jamais faire d’escale. J’étais également abonnée aux infections urinaires chroniques. Le réabonnement se faisait de manière systématique. Je sortais d’un mal pour entrer dans un autre. Désormais, les antibiotiques occupaient une place dans notre cuisine, de manière constante."

Je me nomme "troubles de l'apprentissage"

 

"Notre fils était incapable de se concentrer donc incapable de se poser. Il est donc évident qu’il lui était également impossible de rentrer en apprentissage. Aussi bien la lecture que l’écriture lui était difficile. Il n’en demeurait pas moins que nous observions qu’il était très intelligent et toujours pertinent. Finalement, on sentait bien qu’il était prisonnier de ses maux…"

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